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"La morale "bourgeoise" et la sensibilité classique"

jeudi 17 juillet 2008, par Guillaume Gros

Philippe Ariès, Nation française, 3 août 1960, n° 252

 Cet article paru dans la Nation française ne figure pas dans la compilation des textes rassemblés par J. Verdès-Leroux dans le Présent Quotidien. Il s’agit donc d’un inédit.

 Entre deux articles politiques et après une période de vacances, Philippe Ariès revient sur une représentation d’Andromaque par Marcelle Tassencourt qu’il a particulièrement appréciée.

 Il défend cette pièce et démonte une partie des critiques exposées par le chroniqueur théâtral du Monde qui n’a pas apprécié la mise en scène ni la conception d’ensemble de la pièce.

Conclusion de l’article

" Des occasions, comme la reprise d’une pièce classique, ne pourraient-elles pas permettre aux critiques dramatiques de réfléchir sur les aspects nouveaux que prennent de vieux sujets à l’occasion des progrès de l’histoire littéraire ou de l’histoire tout court ? Les études raciniennes sont en plein renouvellement, grâce aux recherches de Pommier, Orcibal, Jasinskki, Picard, Goldman, etc.. Il vaudrait mieux les exposer aux lecteurs que se contenter de quelques impressions trop subjectives. "

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